Largement en accord avec l’étincelante analyse de Daniel Soulez Larivière, je ferai cependant entendre trois bémols. Les remèdes aux rébellions La finalité première de la justice, nous dit-il, est la paix civile et cette dernière ne peut s’obtenir sans le concours de la force publique. En cela, le sort de la justice est intrinsèquement lié à celui du souverain. Et dans ce tandem (pour user, à son instar, du langage métaphorique) la justice représente le souverain
Trois bémols
La suite est réservée aux abonnés ayant un abonnement numérique + archives...
Continuez à lire votre article en vous abonnant ou en achetant l'article.
En achetant cet article, vous aurez accès à tous les articles "Enquête sur le pouvoir judiciaire – Réactions au numéro précédent".