Jean-Louis Bourlanges

Ancien député européen, député des Hauts-de-Seine, vice-président de la commission des affaires européennes. Diplômé de Sciences Po, agrégé de lettres modernes, ancien élève de l'École nationale d'administration. Ancien professeur invité à l'école de Saint-Cyr Coëtquidan et associé de l'IEP de Paris. Invité régulier de l'émission « Le Nouvel Esprit public » diffusé en podcast via lenouvelespritpublic.fr

Mise à jour dans le numéro 172
Article Revue
La timidité de la réforme des retraites Printemps 2023
n° 181
Pour une réforme substantielle du mode de scrutin législatif Hiver 2020
n° 172
Valéry Giscard d'Estaing ou le centre en majesté Automne 2020
n° 171
Refuser la tentation du cloître éternel Été 2020
n° 170
Patrick Devedjian (1944-2020) Été 2020
n° 170
Pitié pour la démocratie représentative Hiver 2019
n° 168
Un Brexit, deux histoires Automne 2016
n° 155
Identité européenne et ambition française Automne 2014
n° 147
Quatre raisons pour changer le mode de scrutin Automne 2012
n° 139
Misère de l'indignation Automne 2011
n° 135
Lettre de DSK à Nicolas Sarkozy Automne 2011
n° 135
L'Europe piétine. Analyse d'une déception Printemps 2009
n° 125
L'adolescent de l'Elysée Printemps 2008
n° 121
Sur le mode de scrutin Printemps 2008
n° 121
Lettre sur le centre Automne 2007
n° 119
La guillotine ou l'ascenseur Été 2006
n° 114
À propos de la Turquie. Les contradictions dans la Ve République Automne 2004
n° 107
Il faudra un référendum Été 2004
n° 106
Les Cent-Jours du président Été 2003
n° 102
La fin de l'Europe communautaire. Critique du traité de Nice Automne 2001
n° 95
L'Europe en péril. Entretien avec Cédric Argenton Été 2000
n° 90
Au-delà de l'incertitude Printemps 1999
n° 85
Le Royaume dont le Prince est en exil Printemps 1998
n° 81
L'Europe à trente : un objet virtuel. Propositions pour la négociation de 1996 Été 1995
n° 70
ÉLOGE DE LA BEAUTÉ ET DE L'ÉRUDITION
« Cioran, considérant la suite de merveilles inventées par la France depuis mille ans, lui accorde le droit de se reposer. De mon côté, j’ai décidé très tôt qu’il ne fallait pas se laisser impressionner par la décadence. J’ai cherché, enseigné et écrit pour faire revivre, au moins par la mémoire, quelques siècles de fécondité française. J’ai été jusqu’à apostropher l’État français et le sommer de faire passer toujours notre patrimoine et notre langue avant le soutien servile aux divertissements de masse. »
Pour Commentaire, le 18 août 2017

 Marc Fumaroli est avec Raymond Aron, Jean-Claude Casanova et Pierre Manent un des fondateurs de Commentaire. Retrouvez tous ses articles sur notre site.