Si Pierre-Henri Tavoillot a reçu cette année le prix du livre politique décerné par un jury de députés à l’Assemblée nationale, c’est sans nul doute parce qu’en pleine crise des Gilets jaunes, les parlementaires y ont vu un havre, une planche de salut intellectuel et moral pour une idée sérieusement mise à mal sur les ronds-points : la démocratie représentative. Ce qui se présente comme un « traité nouveau d’art politique » était évidemment fort bien
Pitié pour la démocratie représentative
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