J’ai du mal à parler de Patrick Devedjian comme on parle d’un mort. Si cette phrase n’était pas totalement incongrue, je serais tenté de dire qu’il était peut-être fait pour mourir inopinément, par surprise en quelque sorte, ne serait-ce qu’en raison d’un courage physique hors du commun, mais qu’il n’était certainement pas fait pour être mort. Il était trop vif, trop mobile, trop batailleur, trop généreux, trop incandescent, trop miracul
Patrick Devedjian (1944-2020)
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