Le libéralisme français ou les infortunes de la raison

Le libéralisme, si on l’entend comme l’amour de la liberté, devrait être un objet de consensus au sein des démocraties et transcender les clivages partisans. Or il cumule les malentendus et les critiques. Cela provient tout d’abord de l’ambiguïté des réalités politiques qu’il recouvre : être libéral signifie appartenir à la gauche radicale aux États-Unis, mais peut tout aussi bien s’appliquer à la droite modérée qu’à la social-démocrat

La suite est réservée aux abonnés ayant un abonnement numérique...

Continuez à lire votre article en vous abonnant ou en achetant l'article.

S'abonner
Je suis abonné ou j'ai déjà acheté l'article

Thèmes abordés

Nicolas Baverez

Nicolas Baverez

Ancien élève de l’École normale supérieure, docteur en histoire et agrégé de sciences sociales. Dernier ouvrage paru : Démocraties contre empires autoritaires (L’Observatoire, 2023).