Le libéralisme, si on l’entend comme l’amour de la liberté, devrait être un objet de consensus au sein des démocraties et transcender les clivages partisans. Or il cumule les malentendus et les critiques. Cela provient tout d’abord de l’ambiguïté des réalités politiques qu’il recouvre : être libéral signifie appartenir à la gauche radicale aux États-Unis, mais peut tout aussi bien s’appliquer à la droite modérée qu’à la social-démocrat
Le libéralisme français ou les infortunes de la raison
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