Les bibliophiles, compagnie à laquelle j’appartiens modestement, bénéficient parfois d’heureuses surprises. Un jour, un libraire d’anciens annonçait sur son catalogue un manuscrit dactylographié de 168 pages, intitulé « Ceux que j’ai connus, par Charles Pomaret ». Je connaissais vaguement le rôle politique de Charles Pomaret. Il avait été l’avant-dernier ministre de l’Intérieur de la IIIe République, et j’avais lu de lui, sans me poser de
Pomaret ou les bonheurs de la bibliophilie
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