La fin de l’ENA et la réforme de la haute fonction publique

Quels changements ? Quels changements la réforme apporte-t-elle au régime existant de haute fonction publique ? Sur le papier, la réforme est simple. Elle comporte deux principales mesures : d’une part, la suppression de l’ENA et son remplacement par un sosie partiel, l’Institut national de service public (INSP), et, d’autre part, la suppression des corps de l’encadrement supérieur de l’État et leur remplacement par un système dit « de fonctionnalisation » ou « d’emplois

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Marcel Pochard

Marcel Pochard

Ancien haut fonctionnaire. Il s’est consacré à la fonction publique, comme directeur général de l’administration et de la fonction publique, comme rapporteur général du rapport annuel du Conseil d’État en 2003 (« Perspectives pour la fonction publique »), comme vice-président de la section de l’Administration du Conseil d’État, comme président pendant dix ans du Conseil supérieur de la FP hospitalière, et comme auteur des 100 mots de la fonction publique (PUF, « Que sais-je ? », 2011).