Tout est venu de la révélation, il y a quelques mois déjà, de l’ampleur réelle de la dette publique grecque. L’État grec a émis, depuis son entrée dans la zone euro, des obligations et des bons du Trésor pour des montants considérables afin de financer des déficits budgétaires résultant d’une gestion laxiste des services publics. Cette dette, longtemps dissimulée par des procédés plus ou moins frauduleux, s’élèverait aujourd’hui à 133 % du PIB. Co
De quelle crise de l’euro s’agit-il ?
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