Chateaubriand aimait souligner l’incertitude fondamentale de l’avenir, « la difficulté de le comprendre [1] ». C’est le titre du chapitre 14 du livre XLII sur lequel s’achèvent les Mémoires d’outre-tombe. La raison en était que les transformations à l’œuvre de son temps dans les sociétés européennes touchaient, selon lui, tous les aspects de l’existence des hommes, de leur vie matérielle et morale. Ce n’était pas chez lui une idée nouvelle. En 1832, dans son MÃ
Chateaubriand et la mondialisation
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