J’avais voulu apporter dans la vie politique un air nouveau, différent ; au début, ce fut apprécié, mais rien ne dure. J’essayais de dire la vérité, fût-elle sévère ; les détracteurs mandatés trouvèrent que ce n’était pas suffisamment « mobilisateur » ; je ne promettais que ce que je pouvais tenir, c’était donc que je n’étais capable de proposer aucune espérance ; j’étais tolérant, respectueux d’autrui, n’hésitant pas à
Un air nouveau
La suite est réservée aux abonnés ayant un abonnement numérique...
Continuez à lire votre article en vous abonnant ou en achetant l'article.
Je suis abonné ou j'ai déjà acheté l'article