
On sait tout du retour de la barbarie en Russie depuis que Vladimir Poutine s’est fait maître du Kremlin. Ce qu’il reste difficile à mesurer (et à accepter), c’est la fascination qu’exerce cette barbarie dans les démocraties libérales. Là se situe non pas le retour, mais le début d’une nouvelle barbarie.
Nº 191 / automne 2025