Stanley admirait le général de Gaulle. Puis-je dire même qu’il l’aimait ? Je le crois. Ses sentiments à son égard se confondaient avec ses sentiments à l’égard de la France. Pour le montrer, je le citerai et j’évoquerai des souvenirs. Les citations sont tirées de son commentaire du film de Marcel Ophüls, Le Chagrin et la Pitié1. La première évoque un modeste professeur d’histoire qui, à Nice en 1943 et 1944, compta beaucoup pour Stanley : Dans ma mé
Stanley Hoffmann et de Gaulle
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