Il ne saurait être question en quelques pages de rendre vraiment compte d’un livre aussi riche que celui de Gilles Deleuze, moins encore d’établir le réseau de relations, concordantes ou contradictoires, qui l’unissent à l’œuvre de Proust. On se bornera donc à quelques remarques, ou plus précisément à un catalogue, lui-même incomplet, d’objections jugées inévitables, celles-ci pouvant peut-être faciliter une lecture indispensable dans tous les cas.
Proust et Deleuze
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