Comment le juger ? Je ne suis tenté ni par la fausse objectivité, ni par la hargne sans risques s’exerçant aux dépens de qui n’est plus. Quelques impressions dominent mon souvenir : pour lui, tout était politique, il se méfiait par principe de l’avis des spécialistes, prônait en tous domaines la prééminence de la volonté, comme si la réalité, la simple vérité n’existaient pas ; son approche des problèmes était fonction du rôle des divers partenaires de l
Portrait de Mitterrand
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