On évoque souvent, comme menace à la liberté d’enseigner, des pressions formelles, verticales : le Congrès, les organismes gouvernementaux, les membres du conseil d’administration des universités, les doyens et les directeurs de département. Ils possèdent un vaste arsenal de moyens subtils et moins subtils pour dissuader de dire ou d’écrire des choses qui ne leur plaisent pas. Ils peuvent, par exemple, retirer des financements ou imposer des sanctions de divers ordres
Obscurantisme et liberté de l’enseignement et de la recherche
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