Dans un article, publié l’an dernier au Kosovo et en Serbie, le philosophe kosovar Muhamedin Kullashi avait dénoncé la surdité de sa communauté et de son pays, la violence qui l’habite et « l’atmosphère de silence et d’indifférence (qui) influe sur la levée graduelle des interdits moraux envers les crimes, ce qui a pour effet leur croissance continuelle ». Et les 17, 18 et 19 mars, cette violence a effectivement explosé, faisant une vingtaine de victimes et 900 blessés, jusqu
Les émeutes du Kosovo : la réponse doit être politique
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