On dira naturellement que le Second Empire est mort d’avoir instrumentalisé la question nationale : né d’un coup d’État militaire, il disparaît sur le champ de bataille de Sedan où, on le saura après, Napoléon III a voulu mourir. Mais, plus profondément, le nationalisme de l’Empire visait à réconcilier les deux France, ce qui signifiait, pour paraphraser Prévost-Paradol, trouver « la forme de gouvernement » adaptée à « la société fondée par la Révo
Le Second Empire ou l’impossible dépersonnalisation du pouvoir
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