À partir du moment où les terroristes deviennent aussi nombreux1, il est nécessaire de les classer, et ce pour une raison méthodologique élémentaire : en réduisant les cas à analyser, nous pouvons approfondir nos observations sociologiques. Les terroristes comme les frères Kouachi appartiennent à une catégorie anthropologique que j’ai proposé de nommer, en me référant aux études de Max Weber, « terroristes de vocation », autrement dit des hommes et des femmes qui o
La radicalisation des terroristes de vocation
La suite est réservée aux abonnés ayant un abonnement numérique...
Continuez à lire votre article en vous abonnant ou en achetant l'article.
Je suis abonné ou j'ai déjà acheté l'article