Ersa, 20 avril 2020 J’écris en avril1, avant la fin progressive du confinement sans doute vers la mimai. Le Premier ministre a eu raison de l’annoncer, cette crise amplifiera le meilleur et le pire. Dans mon modeste village corse, à Botticella d’Ersa, je ne vois que le meilleur : la bonne humeur, la sollicitude, le dévouement, la solidarité. Le Cap reste le Promontoire sacré des Romains, l’air du printemps fait revivre le maquis et renouvelle ce puissant sentiment
La gratitude, la peine et le souci
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