Cette dualité acceptée se constate dans l’ordre économique comme dans celui du politique. La Chine, un monde en soi, s’est placée au cœur de ces mécanismes d’interdépendance planétaire qu’on baptise « globalisation ». Elle allie le culte de la stabilité avec celui de l’hypercroissance, l’obsession de la souveraineté avec le choix d’une aliénation mutuelle sans précédent. A-t-on jamais vu un pays-continent, dont 65 % de la population habi
La Chine à la quête du monde
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