Je venais de boire mon café quand Michael Cimino, coiffé d’un authentique Stetson blanc, pénétra d’un pas incertain dans ce bar tabac du boulevard Poissonnière. Ce n’était au vrai qu’une demi-surprise puisque, dans moins d’une quinzaine de minutes, Cimino allait, en ce 6 juillet 2005, donner une master class dans la salle voisine du Max Linder et que, m’arrachant à la douce torpeur du Sud, je n’étais monté à Paris que pour cette raison. Michel
Journal de bord d’un cinéphile non repenti. Made in USA (suite et fin)
La suite est réservée aux abonnés ayant un abonnement numérique...
Continuez à lire votre article en vous abonnant ou en achetant l'article.
Je suis abonné ou j'ai déjà acheté l'article