Cinéma : il était une fois la France (II)

Pascal Thomas est arrivé pile à l’heure. À deux, trois minutes près, disons. Les deux, trois minutes qu’on accorde au piéton souvent retardé par un feu tricolore en panne. Les deux, trois minutes que j’accordais autrefois à Yves Martin, le poète mangeur d’images qui ne se déplaçait qu’à pied1. C’est dire en quelle estime je tiens Thomas, car j’ai pour principe de ne pas fr&eacut

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