Un pléonasme qui marque Nous sommes au siècle dernier. De sa voix légèrement zozotante qui tranche de tout, Alexandre Astruc est en train de parler. De nous parler. Aujourd’hui encore, je le revois, il est là, en face de moi, et je bois ses paroles… Sauf que, malmenée par l’usage, ma mémoire s’est passablement effilochée et que, donc, il vaut mieux appuyer mon témoignage sur plus solide qu’une impression. Comme, par exemple, sur cette photographie qui immortali
Journal de bord d’un cinéphile non repenti
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