Problème commun et réponses divergentes Camus est dostoïevskien à la manière de plusieurs grands écrivains de sa génération, en tant qu’il subordonne délibérément l’analyse psychologique, d’une part, et d’autre part le romanesque proprement dit à l’illustration de thèmes qui relèvent de la métaphysique. Camus, du reste, le dira avec autant de lucidité que d’humour dans Le Mythe de Sisyphe : « Tous les héros de Dostoïevski s’interroge
Camus, Dostoïevski et le problème du mal
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