Bernard de Fallois et Proust

« Aucun vivant, si grand soit-il ou si cher, ne doit être honoré qu’après sa mort » Marcel Proust   En 1952, dans sa préface à Jean Santeuil1, André Maurois, qui avait compulsé les manuscrits de Proust pour préparer sa biographie2, écrit : « quand Bernard de Fallois, jeune agrégé des lettres, vint me dire qu’il écrivait une thèse sur Proust, je priais M

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Jean-Claude Casanova

Jean-Claude Casanova

Directeur de Commentaire.