On ne trouvera dans le titre d’un de ses derniers articles, « Pour le progrès. Après la chute des idoles1 », des conclusions alternatives, un Aron progressiste, qu’en oubliant que les idoles du siècle, au soir de sa vie, semblaient emporter la raison dans leur chute « postmoderne » comme elles l’avaient pervertie dans leur élévation totalitaire. L’orientation qui unifie la philosophie et la sociologie d’Aron devrait exclure d’emblée tout malenten
Aron : la sagesse et l’action
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