Vertige devant ces murailles de livres

En vérité, Messieurs, je ne sais pas comment une âme peut garder son courage, à la seule pensée des immenses réserves d’écriture qui s’accumulent dans le monde. Quoi de plus vertigineux, quoi de plus confondant pour l’esprit que la contemplation des murs cuirassés et dorés d’une vaste bibliothèque ; et qu’y a-t-il aussi de plus pénible à considérer que ces bancs de volumes

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