Aristide Briand, rapporteur de la loi du 9 décembre 1905 sur la séparation des Églises et de l’État, déclarait ceci dans une langue et dans des termes qu’on aimerait retrouver dans les débats parlementaires d’aujourd’hui : Il fallait que la séparation ne donnât pas le signal des luttes confessionnelles ; il fallait que la loi se montrât respectueuse de toutes les croyances et leur laissât la faculté de s’exprimer librement. Nous l’avons faite de telle sorte que
Une leçon de laïcité appliquée
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