Giuliano FERRARA, Une Italie belle et perdue Le mythe, né du Risorgimento, d’une Italie belle et perdue a survécu. Le texte de Nabucco de Giuseppe Verdi « Ô ma patrie si belle et perdue » trouve de multiples échos en cette année bavarde du 150e anniversaire de la proclamation d’un royaume unitaire marqué du sceau piémontais. Mais l’Italie est beaucoup moins belle qu’autrefois (le magnifique écrivain napolitain Raffaele La Capria a lancé une croisade contre la
Une Italie belle et perdue
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