Le moment paraît maintenant proche où le gouvernement français, après un an d’escarmouches, devra dire, d’une manière ou d’une autre, s’il accepte que la Grande-Bretagne entre dans la CEE1. Sa position officielle est bien connue. Elle consiste, comme d’ailleurs celle de presque tous les commentateurs français, à souhaiter cette entrée, mais à condition que l’Angleterre consente à se plier aux dispositions du traité de Rome et aux règlements communa
Trois raisons contre le « Brit-in »
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