Le père de Zazie aurait aujourd’hui cent ans sonnés. Bénéficiaire et victime de la bruyante notoriété de son héroïne, il passe aux yeux de beaucoup pour un écrivain cheminant hors des voies ordinaires pour donner plus libre cours à ses démons fantaisistes, voire facétieux. Depuis quelque temps cependant, depuis surtout que le français, langue littéraire incluse, est ou se sent en difficulté, la critique s’interroge : ne faut-il pas prendre Queneau beaucoup plus au sér
Raymond Queneau et la langue française
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