Une histoire fait le tour des bases de l’OTAN au Kosovo. Le jour du départ des troupes espagnoles de la KFOR1, fin juillet 2009, un représentant de la municipalité d’Istok se serait approché de l’ultime commandant du contingent espagnol pour le remercier chaleureusement de « la contribution hispanique à l’histoire du Kosovo ». Surpris, l’officier aurait répondu : « C’est très gentil à vous de dire ça, mais je crains que mon pays ne reconnaisse
Pour un engagement européen au Kosovo
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