Ovide : le sourire, l’angoisse et l’espérance

Sacha Guitry, Jules Verne, ou Victor Hugo ? Mais où est l’unité de cette œuvre ? En la transposant très grossièrement de nos jours, on pourrait dire qu’il y a chez Ovide une période « théâtre de boulevard », de littérature à la Sacha Guitry, si l’on veut : celle des Amours, de L’Art d’aimer, des Remèdes d’amour, où le poète dit « je » ; puis, par la transition du romanesque amoureux des Héroïdes, l’œuvre devient, en apparence

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