On écrit trop

On se plaint, dans la société, de ceux qui ne laissent parler personne ; on pourrait se plaindre aussi de ceux qui ne vous laissent pas écrire, si écrire n’était un travail qui demande qu’on soit seul et isolé.La quantité de choses que les hommes écrivent est inconcevable. Je ne parlerai pas de ce qui est imprimé, quoique ce soit déjà assez. Mais ce qui circule sans bruit sous forme de lettres, de nouvelles,

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