Madame de Staël écrit mal mais pense bien

Disons-le tout d’abord, et convenons-en de bonne grâce : si l’on ne lit plus guère aujourd’hui les romans de Mme de Staël, c’est qu’ils ont contre eux d’être mal écrits. « Il sortit de cette chambre où, pour la dernière fois peut-être, il s’était senti aimé comme la destinée n’en offre pas un second exemple », ou encore : « Il se rappela tout ce que lady Edgermond avait pu dire de la légèreté de Corinne, et il entra, dans le s

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