Ce que les hommes du xviiie siècle n’ont pas vu en Fénelon, et ce qu’ils auraient pu et dû y voir, c’est le gentilhomme et le chrétien. S’ils ont été peut-être reconnaissants à ce très grand seigneur de s’être fait l’un d’eux, homme de lettres comme eux, d’avoir écrit comme eux des romans et des fables, ils n’ont pas compris que le sentiment de l’honneur l’a empêché de tomber dans l’oubli de soi-même et de sa d
La grandeur française de Fénelon
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