L’État, c’est moi, hélas ! On élit un Président, mais c’est bientôt pour le conspuer, pour très vite le contester, le railler, le fronder. Il n’y a pas de Président heureux depuis le général de Gaulle. Et encore son second septennat a-t-il mal commencé pour mal finir. Depuis, être chef de l’État, c’est devenir plus ou moins vite mais inéluctablement impopulaire. Passée la lune de miel, l’homme de l’Élysée devient le paratonnerre sur lequel s’acharnent foud
Macron : le retour de la haine
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