La première est que, dans leur souci de trouver des excuses à la Russie, beaucoup avancent comme des évidences des thèses qui méritent un examen critique ; par exemple : « On n’a pas parlé à Poutine », ou « On n’a pas fait sa place à la Russie dans l’architecture de sécurité européenne », ou encore « Après la fin de la Guerre froide, l’Occident ne l’a pas aidée, elle lui a imposé une thérapie de choc qui l’a ruinée » et « Non co
L’Occident est-il responsable de la guerre d’Ukraine ?
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