Vous m’avez demandé mon sentiment sur la discussion qui s’est ouverte autour de l’idée de « cohabitation »1. Il est très simple. La position exprimée par Raymond Barre correspond de façon si évidente au bon sens, à l’intérêt national, à la dignité des fonctions et des personnes, que je vois mal comment on pourrait en soutenir une autre. Il y a ceux qui disent : n’en parlons pas. Chaque chose en son temps. Il ne faut pas vendre la peau d
Lettre sur la cohabitation
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