À la Toussaint de 1954, lorsque l’insurrection algérienne a éclaté, j’avais neuf ans. En mars 1962, lors de la signature des accords d’Évian, qui mettaient fin à la guerre et conduisaient l’Algérie à l’indépendance, je n’en avais pas encore dix-sept. Je n’ai donc pas participé à la guerre d’Algérie. Si le terme de latence peut s’appliquer à mes souvenirs, ce n’est pas dans le sens d’un refoulement causé par une impli
Les photos de Bacheix La guerre d’Algérie en fragments enfantins
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