Il y a quelques jours1, le président de la République a déploré que l’on manifestât contre la justice et les institutions, et même davantage, condamné qu’on le fît. Cette position mérite qu’on s’y arrête comme à un symptôme de l’époque. La justice est devenue la religion d’un pays sans religion, la politique d’un pays sans hommes d’État, et les juges les mollahs d’une société sans prêtres. Car enfin l’opinion du pr
Les aventures de la justice
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