Heureux ceux qui ont cru sans avoir vu, dit l’Évangile : quoiqu’il ne puisse d’aucune manière être question de bonheur dans leur histoire, il y a bien, dans les destins croisés de Raphaël Lemkin et de Jan Karski, qu’Annette Becker a réunis dans la rédaction de ce livre, quelque chose où s’entrechoquent la vision et la croyance, car Lemkin, qui n’a pas vu le génocide, a pourtant forgé le terme au moment où la chose se commettait, alors que, si Karsk
Lemkin/Karski : le mot et la chose
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