L’indifférence italienne envers ce qui ressemble à une sortie du « régime démocratique et libéral1 » a été accompagnée d’une représentation médiatique simpliste de la vie sociale, réduite aux seules activités ordinaires (achats, loisirs, restaurants) auxquelles on pouvait, bien sûr, renoncer sans difficulté pour « rester sur le divan » si les précautions contre le virus l’imposaient. C’est aussi le silence de l’opinion publique elle-même qui
Le silence italien
Libertés personnelles et confinement
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