Personne n’aime être jugé, et les juges encore moins que quiconque. C’est dire si Clio, qui se croit volontiers investie du droit de prononcer le dernier jugement sur les affaires du monde, peut faire grise mine à la lecture du livre de Jacques Villemain, puisque celui-ci, non content de l’asseoir sans égards excessifs sur la sellette de Thémis, l’y condamne, à propos du génocide vendéen, en gros et en détail, pour amateurisme, pour parti pris, et même pour pré
Le chat vendéen
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