La profession d’avocat connaît aujourd’hui une situation paradoxale. D’un côté, elle est censée exercer un pouvoir croissant dans une société française découvrant tardivement la puissance d’un droit en partie libéré de la tutelle de l’État, ce qui expliquerait l’attrait qu’elle exerce auprès de nombreux hauts fonctionnaires et membres du personnel politique1. De l’autre, elle pourrait ne jamais avoir été aussi fragile du double point
L’avenir de la profession d’avocat
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