Alain Juppé, dont Gilles Boyer est depuis de longues années le collaborateur le plus proche, était le grandissime favori de la primaire de la droite et du centre. Il en a finalement été l’indiscutable perdant. Comment donc a-t-il échoué ? Et cette mésaventure n’en rappelle-t-elle pas d’autres, de Raymond Barre à Édouard Balladur, qui, vainqueurs annoncés dans les deux ans précédant l’élection, ont été rattrapés et éliminés, dès le premie
La malédiction du favori
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