L’autorégulation du marché Des membres de l’Association du cinéma indépendant exprimaient récemment la doléance suivante : Si on laisse le marché s’autoréguler […], il ne restera bientôt plus en salles que les films produits par les grands studios, les chaînes de télévision, leurs filiales et les groupes intégrés de production-distribution. Est-ce vraiment le choix du « public » ? Nous ne le croyons pas1. L’affirmation que le marché « s’aut
La France et le marché
Sources philosophiques d'une incompatibilité d'humeur
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