Au plan des principes, l’intérêt et même la nécessité de politiques de l’environnement ne sont pas discutables, ni discutés. En présence d’externalités, on ne peut pas faire confiance au marché. Or il y a beaucoup d’externalités en matière d’environnement. Donc des politiques d’intervention sont désirables. Mais il ne s’ensuit pas pour autant que toutes les interventions sont justifiées. Elles ont un coût, et ce coût doit être comparé au
La croissance verte : une chimère ?
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