De génération en génération, l’état de peintre se transmit chez les Vernet, modestement d’abord, puis glorieusement à partir de Joseph (1714-1789), dont la descendance ne déchut pas. Son fils Carle (1758-1836) et son petit-fils Horace (1789-1863), indissociables l’un et l’autre de Géricault, assurèrent une certaine survivance, dans la France postrévolutionnaire et romantique, de la culture de leur aïeul, le peintre des tempêtes cher à Diderot, et dont Marc Fumaroli a r
Joseph Vernet, un peintre qui compta

Émilie Beck Saiello, « Car c’est moy que je peins. » Stratégies familiales et professionnelles de Joseph Vernet à travers l’étude critique de son livre de raison et de sa correspondance
(Éditions Conférence, trois volumes, 130 illustrations, 2025)
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