Quand la mort saisit un ami plus jeune que vous, la peine est plus grande. J’ai connu Georges en 1965 ou 1966, à Sciences Po. Il était élève. J’y enseignais. Il avait été élu à la tête de l’amicale des étudiants et il publiait un bulletin, que ses biographes consulteront car ils y verront de suite son goût des lettres et de la provocation. On y traitait d’écrivains et de sujets qui n’étaient pas « corrects » à l’époque – disons qu’il penchait du côté des Â
Georges
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